Denys et Damaris. Il serait bien d’avoir plus de gens comme eux à Montréal, ainsi que dans les grandes villes, les villes modestes et les villages du monde.
Denys et Damaris. Ils font partie du tout petit nombre de nouveaux chrétiens issus d’un des grands discours évangéliques de l’apôtre Paul, celui prononcé à Athènes au 1er siècle (Actes 17/ 32 – 34) :
«32 Quand les Grecs entendent dire que Dieu peut relever quelqu’un de la mort, les uns se moquent de Paul, les autres disent : « Nous t’écouterons parler de cela une autre fois ! » 33 Alors Paul les quitte. 34 Pourtant, quelques-uns vont avec lui et deviennent croyants. Parmi eux, il y a Denys, du Conseil d’Athènes, une femme appelée Damaris et d’autres encore.»
Denys et Damaris. Pourquoi eux et quelques-uns plutôt que la grande majorité de l’auditoire ? Parce que Dieu le Saint-Esprit agit en qui il veut, quand il veut, comme il veut.
Denys et Damaris. Que chaque chrétien puisse prier « Seigneur, envoie souvent dans ma vie un ou deux Denys et Damaris, ceux en qui l’Esprit Saint agit déjà, afin que je puisse leur témoigner de ton sacrifice et de ta résurrection.»
L’Esprit appelle les Denys, les Damaris, et les quelques-uns de ce monde. Ils se multiplient en nombre et en sainteté. Le résultat en est que de plus en plus de gens se mettent à genoux devant Jésus, qui est suprêmement digne de recevoir leur adoration. Et des sociétés, des villes et des villages sont davantage marqués par sa grâce et sa vérité.
Denys et Damaris. A Montréal. Partout. Pour toujours.
- JG Zoellner / été 2017